Lorsqu’en 1274 le village de Brouennes fut donné à Thibaut II, duc de Bar sous le régime de Beaumont, une partie de la propriété fut laissée de côté et donnée à Jehan de Chaufour, prévôt de Stenay.
continuerFlassigny – Histoire du village
L’ancien lavoir a été transformé en hôtel de ville, dont les abreuvoirs servent de jardinières.
Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, Flassigny était politiquement divisé en deux. Chaque partie avec un château et séparée par un ruisseau.
Il y avait deux hôtels particuliers, celui de Flassigny le Petit et l’autre celui de Flassigny la Grande est plus à gauche dans le village.
Une ville de province endormie à l’ouest de Stenay. Un ancien château domine le village: Le château Augeard. Une partie a été restaurée et a donné de l’espace au musée des chevaux de trait ardennais pendant quelques années, mais le musée semble majoritairement fermé pour le moment.
Le château Augeard:
continuer14-18 la première guerre mondiale.
Kronprinz Friedrich Wilhelm, fils de l’empereur Guillaume, arrive à Stenay en septembre 1914 et choisit le château des Tilleuls (appelé «Unter den Linden» par les Allemands) comme résidence au nord de la ville de province. Il y restera jusqu’en février 1918.
continuerAu pied de la montagne de Montmédy se trouve le village de Thonne-les-Près avec son château de Laval (1890).
Le XIXe siècle amène un grand changement avec la reconstruction du château (Château de Laval) et des dépendances, actuellement propriété privée et non ouverte aux visiteurs. (Mais le long de la rue se trouve le magnifique château avec son chenil pour chiens de chasse, la chapelle et l’orangerie. Dans le jardin il y a même une vraie glacière!)
continuerLe château de Bouillon (Belgique), perché sur trois pointes rocheuses au-dessus de la Semois, possède un dédale de couloirs et de vastes salles voûtées. Il est considéré comme la relique la plus ancienne et la plus intéressante de la féodalité en Belgique.
continuerLe nord de la Meuse, notre région, est peu peuplé, peu ou pas d’industrie, peu ou pas d’activité commerciale. Mais l’agriculture et la sylviculture, et aussi le tourisme bien sûr.
Les activités qui se déroulent ici sont généralement à petite échelle, et précisément en raison de cette nature à petite échelle, elles sont parfois en contradiction avec le principe du nord. Le globalisme, la tendance à oublier l’artisanat et à donner la priorité au rendement, l’aliénation de la pureté du métier, de l’artisanat. Nous le voyons évoluer dans le sens où nous ne nous soutenons pas. Mais il y a aussi un contre-mouvement, la petite échelle, la ferme où l’on peut acheter sa propre viande d’élevage, où les œufs, ou le lait ou la bière et c’est ainsi que nous rencontrons la famille Bonnefoy.
Lors d’une balade à vélo autour de Mouzay, Marcel et Raymonde Bonnefoy sont passés devant le château de Charmois, qui les a tellement impressionnés qu’ils ont tout mis en œuvre pour l’acheter. Tous deux étaient tombés amoureux du château, ou plutôt de ce qu’il en restait, un château est en ruine. Mais ils l’ont acheté en 1978. La famille y est restée toutes les vacances. Alain, le fils, y a passé son enfance, avec son frère et sa sœur. La famille a entamé la restauration du château, brique par brique, poutre par poutre, dans le plus grand respect de l’authentique. Et encore, parce que l’histoire n’est pas finie.
En 1931, les moines d’Orval se lancent dans le brassage de la bière afin de financer la reconstruction du patrimoine de l’ancienne abbaye gothique détruite à la Révolution française. Et s’ils ont réussi… l’abbaye vaut le détour. Et Alain a fait le lien, même en France, chez lui, le château était encore dans un état inquiétant. C’est donc en 2004 qu’il a commencé à brasser sa bière, dans les pots de la mère en cuisine, 30 litres par semaine, avec vente au musée de la bière de Stenay.Brasserie Charmois – Mouzay.
continuerAu centre de MONTCORNET, à 10 km de Charleville-Mezières, les vestiges d’une forteresse du XVieme siècle, œuvre des Croy, s’étendent sur un hectare et demi.
Inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1926, le château est géré par une association créée par l’abbé Bernard Lussigny en 1961 dont la vocation, avec l’aide de la Commune de Montcornet, est la conservation et l’illustration du site.
continuerUn vidéo de France3 de 2 aout 2019.
Montmédy citadel
Louppy-sur-Loison château
Avioth basilique continuer
C’est un ouvrage de soutien situé à proximité des citadelles lorraines de Stenay et de Jametz et face à Villefranche, citadelle française que l’on aperçoit de l’autre côte de la Meuse.
Une présence gallo-romaine a été décelée sous la cour du Château haut (charpente brûlée, présence de tuiles). continuer
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