Saint-Mihiel
était à l’origine une abbaye bénédictine, fondée très tôt en 709. Le pouvoir bénédictin a joué un rôle majeur dans le développement de la ville jusqu’au XVIIIe siècle. L’église Saint-Michel et les bâtiments abbatiaux attenants en sont encore des témoins intéressants.
A cela s’ajoute la bibliothèque bénédictine, pièce maîtresse de l’art lorrain, qui abrite, entre autres, une très belle graduation de 1463, 70 estampes de berceau et de belles éditions des 16 ′ et 17 ′ siècles.
Au Moyen Âge et à la Renaissance, Saint-Mihiel est devenue une ville d’art et de commerce florissante. Pour en être convaincu, il suffit de se promener au hasard dans les rues où de nombreuses belles maisons de cette période ont été conservées. Le studio de Ligier Richier est situé dans la Rue-Haute-des-Fosses.
A Saint-Mihiel, deux œuvres du sculpteur sont conservées: «L’impuissance de Marie soutenue par saint Jean» et «Le sépulcrum», un ensemble majestueux de treize personnages représentant une partie de la mise au tombeau du Christ. Voir pour ça: Ligier Richier
Les amateurs d’escalade et de géologie ne peuvent ignorer les fameuses «Falaises» (falaises), sept roches coralliennes mésozoïques de plus de vingt mètres de haut, appelées les «Dames de la Meuse».
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