circuit vélo, balade à vélo
Les rochers des Grands Ducs forment un paysage de très grande qualité. Ils sont situés sur la rive gauche de la Meuse et culminent à 227 mètres, au bout d’un éperon rocheux qui délimite la boucle décrite par la rivière. La forêt est partout, les reliefs sont très accentués.
Les rochers des Grands Ducs forment une véritable falaise et semblent se déverser sur les eaux de la rivière, donnant à cet endroit une atmosphère grandiose. Cet ensemble de grès et d’ardoise offre un panorama exceptionnel sur le village de Joigny-sur-Meuse et Nouzonville.
continuerGarez-vous au bout de la rue Basse (en venant de Juvigny). Total environ 2 km, mais ascendant.
De là, il y a une petite promenade agréable jusqu’à l’ancienne gare de Han-lès-Juvigny. Traversez le pont et tournez à droite avec la route puis à gauche. On dirait que vous êtes sur la propriété d’un agriculteur, mais vous pouvez continuer tout droit.
La piste cyclable de Billy-sous-Mangiennes et St-Pierrevillers à 37,2 km.
Commencez au lavoir de Billy-sous-Mangiennes.
Billy-sous-Mangiennes a longtemps été la capitale du canton. Le lavoir date de 1857 et a le style architectural et les dimensions d’un temple laïc.
Lorsque vous empruntez la départementale D964 passant par Dun-sur-Meuse, vous voulez la traverser le plus rapidement possible afin de pouvoir respirer à nouveau dans la campagne qui repart définitivement après le village.
La route principale trop étroite est un obstacle majeur pour un village qui avait autrefois l’allure d’une ville de province riche. Et pourtant, une visite en vaut la peine. Dun-sur-Meuse forme un tout avec Doulcon.
continuerUne promenade pour les amoureux des oiseaux.
Tout droit à travers les prairies du Mouzay, le long des méandres de la Meuse, au milieu de la zone Natura 2000 et accompagnée de l’appel du courlis, une promenade à travers les plaines inondables de la Meuse.
Promenade: parking au Pont des Poteaux (premier pont à droite après Mouzay).
continuerCette promenade n’est possible qu’en été lorsqu’il n’y a pas d’eau dans les plaines inondables.
Depuis le Moulin le Cygne à Stenay. A gauche et encore à gauche vers Laneuville, mais encore à gauche avant les forges. Et profitez des fleurs, des oiseaux et du beau ciel.
continuerLe fort de Villy-la-Ferté (près de Margut) était la dernière forteresse de la ligne Maginot qui comprenait 675 bunkers et a été construit après la première guerre mondiale par André Maginot pour protéger la France d’une nouvelle invasion par les Allemands. La-Ferté se compose de 2 casemates Distants de 300 mètres et reliés par un couloir. Il est situé au-dessus de la vallée de Chiers.
continuerÀ la frontière de la France et de la Belgique se trouve le hameau de Chameleux, qui mérite une visite en combinaison avec Orval, Florenville et Williers.
Il est situé entre les étangs de pêche peuplés de truites, la rivière Williers qui forme la frontière et les vestiges d’une ancienne halte romaine entre Reims et Trèves.
continuerEntourée de jardins, Metz est parsemée d’étangs et invite à des promenades pittoresques.
3000 ans d’histoire ont donné à la ville de Metz un caractère solide. Le patrimoine exceptionnel de la ville a été particulièrement bien conservé dans un écrin de verdure, au confluent de la Moselle et de la Seille. Promenez-vous dans Metz médiévale.
continuerUn village convivial avec 81 maisons, 131 habitants, 52 ménages. La marée haute pour la population était avant 1850 avec 500 habitants. Familles nombreuses, facilement 6 habitants par maison!
continuerJean-Claude Servais est très friand de la Gaume (sud de la Belgique), une région qu’il connaît comme sa poche. Après tout, il y séjourne depuis de nombreuses années et n’est que trop heureux de profiter de la nature. L’histoire de la région se reflète dans ses paysages, ses monuments et ses bâtiments, ce qui en fait l’ambassadeur de rêve de la merveilleuse Gaume.
continuerLe village belge mais aussi lorrain de Torgny
Les villages de la basse vallée du Ton ont tous un aspect lorrain avec leurs maisons basses aux toits de tuiles spéciaux. Torgny aan de Chiers est la plus remarquable en termes de maisons.
continuerLa guerre franco-allemande de 1870/71 est le début de trois affrontements en 75 ans. Les cimetières et les monuments rappellent encore cette guerre qui a fait 80 000 morts.
continuerMontfaucon d’Argonne, monument et village détruit.
Le Mémorial de Montfaucon est situé à environ 30 kilomètres au nord de Verdun. Le mémorial est placé en mémoire de la victoire américaine de l’offensive Meuse-Argonne pendant la Première Guerre mondiale.
continuerBalade à vélo gracieuseté du Cyclos du Ciel de Meuse.
Un parcours de 47 km via Murvaux, Cléry-le-Grand et le-petit, Doulcon, Saulmory-Villefranche, Wiseppe.
Billy-sous-Mangiennes ou Billy-les-Mangiennes est situé à 4 km en amont du village de Loison.
Elle a longtemps été la capitale du canton. Le bâtiment de la place témoigne encore de cette riche histoire. De même, le bâtiment de la gendarmerie de la rue des Juifs avec l’inscription «sêreté publique» ou la gendarmerie.
En 1851, la population était de 594. Aujourd’hui, 66 ménages, avec une population de 170 et 85 maisons. L’église Saint Christophe date de 1758. Le grand manoir aux allures de château, toit en ardoise, clôture à poteaux, est du 18ème ou 19ème siècle. La date 1805 est gravée sur les poteaux du portail. Durant la Première Guerre mondiale, ce bâtiment servit d’hôpital aux troupes allemandes.
continuerLorsque vous entrez dans Jametz (prononcé shamé), vous ne serez pas immédiatement séduit par ce village. Maisons anciennes, grises et vides. Pourtant, ce village abrite un certain nombre de lieux de séjour agréables, une histoire importante et de nombreux sites magnifiques.
continuerQuel est le rôle des coquelicots? Les coquelicots fleurissent lorsque les autres plantes à proximité sont mortes. Les graines de pavot peuvent rester sur le sol pendant des années et ne commencent à pousser que lorsque les plantes et les arbustes à proximité ont disparu, par exemple lorsque le sol a été retourné et contaminé. La plupart des coquelicots peuvent toujours être observés dans les endroits où des gravats de démolition sont dans le sol.
continuerDun est situé dans le Val Dunois et est dominé par la haute église fortifiée de Notre-Dame. La robuste église est visible de loin. L’église est le seul bâtiment survivant de la ville haute qui a été complètement détruit pendant la guerre de 1914-18.
Le château avait déjà été démoli en 1642 sur ordre de Louis XIII. Seule la basse Dun est restée. L’église, dédiée à Notre-Dame de Bonne Garde, a été construite vers 1350 grâce à la générosité de Geoffroy d’Apremond, seigneur de Dun, et de son épouse Marguerite de Sully.
continuerLe nord de la Meuse, notre région, est peu peuplé, peu ou pas d’industrie, peu ou pas d’activité commerciale. Mais l’agriculture et la sylviculture, et aussi le tourisme bien sûr.
Les activités qui se déroulent ici sont généralement à petite échelle, et précisément en raison de cette nature à petite échelle, elles sont parfois en contradiction avec le principe du nord. Le globalisme, la tendance à oublier l’artisanat et à donner la priorité au rendement, l’aliénation de la pureté du métier, de l’artisanat. Nous le voyons évoluer dans le sens où nous ne nous soutenons pas. Mais il y a aussi un contre-mouvement, la petite échelle, la ferme où l’on peut acheter sa propre viande d’élevage, où les œufs, ou le lait ou la bière et c’est ainsi que nous rencontrons la famille Bonnefoy.
Lors d’une balade à vélo autour de Mouzay, Marcel et Raymonde Bonnefoy sont passés devant le château de Charmois, qui les a tellement impressionnés qu’ils ont tout mis en œuvre pour l’acheter. Tous deux étaient tombés amoureux du château, ou plutôt de ce qu’il en restait, un château est en ruine. Mais ils l’ont acheté en 1978. La famille y est restée toutes les vacances. Alain, le fils, y a passé son enfance, avec son frère et sa sœur. La famille a entamé la restauration du château, brique par brique, poutre par poutre, dans le plus grand respect de l’authentique. Et encore, parce que l’histoire n’est pas finie.
En 1931, les moines d’Orval se lancent dans le brassage de la bière afin de financer la reconstruction du patrimoine de l’ancienne abbaye gothique détruite à la Révolution française. Et s’ils ont réussi… l’abbaye vaut le détour. Et Alain a fait le lien, même en France, chez lui, le château était encore dans un état inquiétant. C’est donc en 2004 qu’il a commencé à brasser sa bière, dans les pots de la mère en cuisine, 30 litres par semaine, avec vente au musée de la bière de Stenay.Brasserie Charmois – Mouzay.
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